Comme chaque année et ceci depuis des décennies, nous venons nous réjouir aux côtés du peuple Juif, dans Sa célébration de l’évènement, que nous considérons comme le plus important du monde, « Le retour du peuple Juif dans Sa terre » et l’établissement à la surprise du monde entier de l’Etat d’Israël.
Certes cela n’a pas été sans mal, sans douleurs, et sans pertes d’êtres chers, mais nous devons admettre que sans l’accomplissement des merveilleuses promesses et sans D.ieu, il n’y aurait pas d’Etat Juif, d’Etat d’Israël. Les ennemis de D.ieu et des Juifs dés 1948 reçurent la première d’une série de leçons amères qu’Israël était là pour y rester, car D.ieu est avec lui et qu’il est plus fort que tous ceux qui sont contre lui.
Donc, joyeux anniversaire chers amis, réjouissez-vous, beaucoup de bénédictions sont en cours d’accomplissement par le D.ieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob. Soyez tous et toutes assurés de notre amitié sincère, de notre aide, et de notre soutien qui ne faiblit pas.
Les Juifs constituent l’un de ces quelques peuples anciens qui ont survécu jusqu’aux temps modernes. Le Judaïsme fait partie des religions vivantes les plus vieilles du monde.
La civilisation juive existait depuis déjà plus de 1 000 ans lorsque les Romains conquirent la Judée, mais les Juifs sauvegardèrent leur héritage unique pendant les deux millénaires suivants. Peu importe qu’ils aient erré au loin, qu’ils se soient beaucoup adaptés aux sociétés qui étaient leurs hôtes ou combien ils furent persécutés, les Juifs gardèrent leur identité.
Le Judaïsme et ses livres sacrés rassemblent le peuple juif. Qu’ils soient religieux ou séculiers, les Juifs sont unis par la morale et les valeurs qu’enseigne le Judaïsme. Les parents ont transmis la tradition à leurs enfants, qui l’ont transmise à leurs propres enfants, et il en est ainsi depuis des milliers d’années.
Partout les Juifs observent les jours saints d’une manière presque identique et répètent les rituels et les prières qu’ont utilisés les familles juives depuis les jours de l’Israël d’autrefois.
Les Juifs partagent les mêmes rituels du cycle de la vie. Quand un enfant de 8 jours est circoncis ou que des adolescents célèbrent leur bar ou bat mitzvah et que toute la communauté y participe, ils reproduisent des traditions juives des temps anciens. Quand un être aimé meurt, les coutumes et prières juives consolent les affligés et énumèrent comment la communauté devrait aider et consoler les endeuillés.
La vie juive est centrée sur le foyer et la famille. La tradition juive sanctifie les relations familiales. La dévotion des parents et leur sens des responsabilités pour transmettre l’identité juive ont lié des générations au passé tout en les unissant elles-mêmes à l’avenir.
« Les Juifs préfèrent rester prisonniers à Jérusalem plutôt que de jouir de la liberté qu’ils pourraient acquérir ailleurs… L’amour des Juifs pour la Terre Sainte qu’ils ont perdue… est incroyable » — Le Père jésuite Michael Naud lors de son pèlerinage en Terre Sainte en 1674
Les Juifs se sont toujours identifiés à Sion, la patrie juive. Elle est au cœur de l’histoire juive, des textes religieux et de l’identité. Beaucoup considèrent le droit à la patrie comme le cœur de la promesse entre Dieu et la nation juive dans la Torah qui remonte des milliers d’années en arrière.
La langue hébraïque, la Torah, les lois du Talmud, le calendrier Juif, les fêtes et congés juifs, tout trouve son origine dans l’Israël ancien et tourne autour de ses saisons, de sa manière de vivre et de l’histoire.
Sion et Jérusalem sont mentionnées 809 fois dans la Bible hébraïque. Quand Israël fut rétabli en 1948, les Juifs arrivèrent de partout pour embrasser Israël et le reconnaître une fois de plus comme le centre de la vie et de la continuité juives.
« Les Grecs et les Romains… s’en sont allés ; d’autres nations ont jailli et maintenu leur flambeau pour un temps mais il a brûlé…
Les Juifs les virent tous, survécurent à tous… toutes les choses sont mortelles mais non le Juif ; toutes les autres forces disparurent mais lui demeure. Quel est le secret de son immortalité ? » — Mark Twain 1898