Le 27 janvier 2019, une conférence antisémite de l’imam chiite Bassem Al-Sheraa, résidant au Michigan, a été mise en ligne sur la chaîne YouTube du Centre islamique Al-Zahraa, situé à Detroit, Etats-Unis.
Al-Sheraa a déclaré que les juifs ont déformé les textes sacrés et autorisé la mise à mort des prophètes, tels que Jésus et Jean-Baptiste. Il a accusé les juifs d’utiliser des stratagèmes et des fraudes en matière de religion et de moralité, d’amasser de l’or et de répandre la pratique de l’usure.
L’imam Al-Sheraa a expliqué que l’usure était une « philosophie juive particulière », que les juifs utilisent comme moyen pour accéder au pouvoir, même si cela contredit leurs enseignements religieux. Selon lui, le système bancaire moderne repose également sur « les instructions et la vision » des juifs.
Il a ajouté que, dans l’histoire, les femmes juives ont créé et géré des « antres d’iniquité féminine », les maisons closes d’Europe. Selon lui, les juifs ont autorisé la transmission de leur religion par la mère, afin que leurs femmes augmentent la population juive par la prostitution.
Al-Sheraa est diplômé de la Hawza [séminaire religieux chiite] de Nadjaf en Irak. Il a émigré aux États-Unis et est l’imam du centre islamique Al-Zahraa du Michigan. Il a également fondé la Hawza de Nadjaf en Amérique du Nord, Michigan. Extraits :
Bassem Al-Sheraa : Yahya [Jean-Baptiste], avec toute sa grandeur et sa gloire, était un prophète, comme son père… [Les juifs] l’ont excommunié, puis ont autorisé sa mise à mort. Il n’a pas simplement été tué. Il a été déclaré hérétique et sa tête a été coupée. Ils ont aussi déclaré hérétique Jésus, fils de Marie. Ils l’ont excommunié. Ils ont dit qu’il n’était pas juif. Puis les Romains l’ont tué. Ils l’ont arrêté pour le crucifier. Mais ce sont les juifs qui ont rendu la décision religieuse à ce sujet. Le gouverneur romain… Lorsque les Romains ont voulu arrêter Jésus, ils ont obtenu une décision religieuse des juifs, disant qu’il ne les représentait pas et qu’il avait été excommunié. Les juifs ont permis sa mise à mort. […]
[Les juifs] emploient des combines et des impostures en matière de religion et de valeurs morales. Ils ont déformé [les textes sacrés] et par conséquent, il est dit que les juifs tuaient souvent leurs propres prophètes. Ils autorisaient les exécutions des uns et des autres. En outre, ils permettaient à leurs femmes de s’adonner à la prostitution, que Dieu nous en préserve. Suite à la captivité [babylonienne], lorsque Nabuchodonosor les a exilés et a détruit le Temple, les juifs ont dit : « L’argent et les femmes sont nos armes les plus puissantes. » C’est pourquoi ils se sont mis à amasser de l’or et de l’agent, et à répandre la pratique de l’usure. L’usure relève d’une philosophie juive particulière… Même dans le monde moderne, les banques mondiales reposent sur la culture de l’usure, qui est un concept juif. Depuis longtemps, les juifs prêtent de l’argent à des gens et perçoivent des intérêts, même si cela est interdit par leur loi religieuse. Permettre l’usure est l’une des choses qu’ils ont faites pour contourner leurs [Écritures]. Les juifs ont autorisé l’usure et sont devenus des usuriers. Ils en sont toujours fiers. Regardez les banques mondiales, les milliardaires… Tout cela est l’apanage [des juifs]. Leur culture est une culture d’usure. La culture financière du monde a été fondée selon leurs instructions et leur vision. Pourquoi ? Parce qu’ils considèrent [l’usure] comme un instrument de contrôle. […]
En outre, ils ont permis à leurs femmes de s’adonner à la [prostitution]. Pardonnez mon langage, mais ils ont créé les bordels en Europe. Leurs femmes géraient ces antres d’iniquité féminine. Ils géraient la plupart des centres de jeu, d’usure, etc. Ils se comportent toujours ainsi. Ils contrôlent les ressources des gens à travers de telles combines et tromperies. Ils considèrent que c’est une récompense et un moyen de servir leur religion. Ils utilisent ces moyens pour contrôler au lieu d’être contrôlés. C’est pourquoi ils ont décrété que le fils d’une femme juive était juif, même si son père n’est pas juif. Ils ont même rendu une décision religieuse à cet effet. L’Ancien Testament et la Torah disent qu’un enfant appartient à son père. Si le père est juif, le fils est également juif, et si le père n’est pas juif, l’enfant n’est pas juif non plus. Mais dans le Talmud, les prêtres ont changé cela. Ils ont dit que le fils d’une femme juive était juif. Par conséquent, ils ont envoyé leurs femmes et leur ont dit : « Allez [forniquer], et si vous tombez enceintes, apportez-nous les enfants et nous les accepterons comme juifs. » C’est leur façon d’augmenter leur nombre.
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