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Hadi Issa Dalloul, physicien nucléaire, a déclaré dans une interview diffusée le 5 novembre 2019 sur la chaîne Mayadeen (Liban), que ce que l’Occident craignait réellement était le développement technologique et médical de l’Iran. Dalloul a affirmé que l’université de Téhéran était sur le point de produire un traitement alternatif pour le cancer, qui « entraînera la faillite des entreprises juives qui investissent dans la chimiothérapie et répandent le cancer ».
Dalloul réside à Ispahan, en Iran, mais sur ses comptes Linkedin et Twitter, il se présente comme « Inspecteur général » de la « British Inspection Authority – Département nucléaire ». Il déclare également avoir étudié à l’Université de Houston et à l’Imperial College de Londres. Extraits :
Hadi Issa Dalloul : Permettez-moi de soulever un point important. Notre problème avec l’Occident ne concerne pas les armes nucléaires.
Journaliste : Vous faites partie de l’équipe qui suit cette question…
Hadi Issa Dalloul : La question iranienne en général. Le problème ne concerne pas les armes nucléaires. Le problème de l’Iran se situe dans deux domaines, militaire et technologique. Il y a une question militaire concernant l’ennemi sioniste, ils ont peur que les technologies civiles et les capacités iraniennes accélèrent le développement d’un système balistique défensif. Ceci constitue une menace pour les sionistes. La deuxième question est plus grave et concerne les technologies médicales, et plus particulièrement l’université de Téhéran. Si Allah le veut, j’annoncerai bientôt que nous sommes sur le point de pouvoir produire un traitement contre le cancer qui servira d’alternative à la chimiothérapie. Cela signifie que les entreprises juives qui investissent dans la chimiothérapie et répandent le cancer feront faillite.
